divers
Amis handicapés je vous comprends
Handicapés je vous comprends
Handicapés je vous comprends
Les parkings sont réservés à votre présent
Mais n’est-ce pas si tentant
De s’y poster indifférent
Quand cent fois au tournant
Pour trouver le stationnement
On aperçoit cent fois, là devant nous libre
L’ici pour’ l’impotent, place de son guibre
Facile est-il de s’y glisser pour un instant
Afin de ne risquer comme bon négligent
L’acte d’une morale sur le fil se balançant
Entre la vertu du bon acte s’affirmant
Et le mal du vice déposant par le présent
La tentation alors qui n’a rien d’excusant
Mais demandons-nous, serai-je ce vil fautant!
Qui tourne en rond sans illusion
Voilà bien le procès
De ces scélérats blasés
Par des lois inadaptées
Que font intransigeant respecter
Des policiers assermentés
Toujours surexcités
Pour verbaliser
Afin de réaliser leur quota
Au crédit de ces ceux
Pris sans ménagement
Par le temps des dépassements
Aux politiciens je leurs dirai: il y a manque
0n doit se plaindre de ce manque abusif
Désagrément du trop peu
De placede parking dans la cité
(Particulièrement quand le stationnent aisé
Est utilisé pour des futilités)
Amis handicapés
Notre problème est aussi le votre
Sont-ils eux, responsables de votre sécurité
Aussi a vous ; ô mes Amis handicapées !
Nous vous le devons tout autant par solidarité.
©ƒC
Ô belles rimades
O belles rimades
Amis du poète
Je suis de bohème
Et je parsème
Simplicité de mes poèmes
En ce là, où on les écoute
Sous la croûte
D’une voûte
Où la joie vous envoûte
Elles coulent dans le rythme
De la musicalité de leur intime
Comme ruisseau dans les ravines
Vous offrant fraicheur divine
Leurs pieds se sont posés
Avec agilité
Sur les esprits se confiant à leur clarté
A leur convivialité
A leur amabilité
s’y adossant avec solidarité
Alors est-il que je m'émerveille
Quand on me veille
Sans sommeil
Jusqu’au levé de l’éveil
Mon doux chagrin
Suinte aux heures du matin
Comme un grand gamin
Voyez ! Il est larmes de bonheur
Qui à toutes heures
Pétillent au touché de vos saveurs
Que n’est t’il pas ce meilleur
Plus que tout autre d’ailleurs
Qui vous épouse en grand seigneur
Alors amis du poème de bon genre
Empoignez la barre
De mon inspiration, elle se pare
Sans retard
Des lumières de mon regard
Qui accompagne mon esprit bavard
Afin de détrousser bon départ
¤
Aussi venez, lisez ! Ce que sont mes rimades
Elles seront aubades
Elles seront sérénades
Pour vos joies en ballade
Au fond de votre esprit en escapade
Qui s’enivrera nonobstant d’en être malade
En vos soucis experts d’algarades
Qui Dévorent vos vies en leurs incartades
Que mes rimades ne vous soient dérobadzs
…
©ƒC
Les yeux rivés au noir
Les yeux rivés au noir
Allée des immortels je voudrai aller
Pour rencontrer un instant de mort
J’ai souhait de retrouver cette liberté
A ma naissance restée là à son port
Mes yeux se rivent au noir des ténèbres
Puissance de l’ombre qui attire vers le vide
Pour vous mener libre dans l’au delà d’une fenêtre
Espace de ces entrailles du néant qui vous rapine
Votre pensée s’étiole dans les bras de ce monde
Quand votre droit
Quand votre devoir
N’est de vivre qu’incrédulité
Mais ma vie saine se rebiffe de cette conspiration
Elle préfère impassible cet esclavage humain
Au libre arbitre d’une mort suggérée au profit d’une machination
Faire honneur à la vie n’est-ce pas plus malin
Quand on n’ergote fruits de tous ces câlins
Que vous offre les douceurs de la nature
©ƒC
Quand le ventre de la mer
Quand le ventre de la mer
L’écume s'enrhume
Dans l’océan goulu
Mouchoir du noir
Pour couvrir morve de l’amère
Des marins au matin
fantômes de nos vues
Ils se couchent sur l'anxiété
De nos yeux transpirant l’’effroi
là bas ils veillent le lai
De la mer d’amertume
Maîtresse de l'hardiesse
Trop complice elle s’étonne
Voir nos hommes là qui fredonnent
Dans la passion régente de leur raison
Ô doux amours ! Vous mes mères et mers
Regardez les sur la vague
Quand la beauté de l’écume drague
Le faste de Vos côtes et que divague
Votre esprit sur leurs madragues
D’où l’on entend les silences de l’oubli
Ils embrassent pulsions des violents sentiments
Pour élaguer folles idées ; ce n’est pas blague.
Femmes seules ne voudraient qu’on les arnaque
Leur amour ne veut s’empêtrer dans le vague
Quand le ventre de la mer; leur amour embarque
Les laissant orphelines d,’une vie qui divague
©ƒC
Ô lueurs de soupirs
O lueurs de soupirs
Ce soir dans la pénombre
De ma chambre ronde
De mystérieuses ombres
A la couleur de cendres oblongues
Se vont toute sombre
Reviennent en nombre
Et sans cesse mes doigts me les montrent
Gentillets se referment à leurs rencontres
O lueurs de soupirs! Mes désirs en fronde
Me Volent d’illusions, mon bonheur qui gronde.
Ne laissez pas aller vos soupirs
Ils ont facile ce grand désir
De venir et vous conduire
Sur le ciel bleu de vos plaisirs
Pour votre âme à jamais, réjouir.
©ƒC