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Amis handicapés je vous comprends

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       Handicapés  je vous comprends

 

 

Handicapés je vous comprends

Les  parkings sont  réservés à votre présent

Mais n’est-ce pas si tentant

De s’y poster  indifférent

Quand cent fois au tournant

Pour trouver le stationnement

On aperçoit cent fois, là  devant nous  libre

L’ici   pour’ l’impotent,  place de son guibre

Facile est-il de s’y glisser pour un   instant

Afin de ne  risquer comme bon négligent

L’acte d’une morale sur le fil se balançant

Entre la vertu du bon  acte  s’affirmant

Et le mal du vice déposant  par le  présent

La tentation alors  qui n’a rien d’excusant

Mais demandons-nous, serai-je ce   vil  fautant!

Qui tourne  en rond  sans illusion

 

Voilà bien le procès

De ces scélérats blasés

Par des lois inadaptées

Que font intransigeant  respecter

Des policiers assermentés

Toujours surexcités

Pour verbaliser

Afin de réaliser leur quota

Au crédit de ces ceux

Pris sans ménagement

Par le temps des  dépassements

Aux   politiciens je leurs dirai: il y a manque

0n doit se  plaindre de ce  manque abusif

Désagrément  du trop peu

De placede   parking dans la cité

(Particulièrement quand le  stationnent aisé

Est utilisé pour des futilités)

Amis handicapés

Notre problème est aussi le votre

Sont-ils  eux,  responsables de votre sécurité

Aussi a vous ; ô mes  Amis handicapées !

Nous vous le devons tout autant  par solidarité.

©ƒC

 


03/08/2020
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Ô belles rimades

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O belles rimades

 

Amis du  poète
Je suis de  bohème
Et je parsème
Simplicité de mes poèmes

 

En ce là, où on les écoute

 Sous la croûte

D’une  voûte
Où la joie vous envoûte

 

Elles coulent dans le  rythme

De la musicalité de leur intime

Comme ruisseau dans les ravines

Vous offrant fraicheur divine

 

Leurs pieds se sont posés
Avec agilité
Sur les esprits se confiant à leur clarté
A leur convivialité
A leur amabilité
s’y adossant avec  solidarité

Alors est-il que  je m'émerveille

 Quand  on me veille
Sans sommeil
Jusqu’au levé de l’éveil

Mon doux chagrin
Suinte aux  heures du  matin

Comme un grand gamin

Voyez ! Il est larmes de  bonheur
Qui à toutes heures

Pétillent au touché de vos saveurs
Que n’est t’il pas ce meilleur
Plus que tout autre d’ailleurs

Qui vous épouse   en   grand seigneur

Alors amis du poème de bon genre

Empoignez la barre
De mon inspiration, elle se pare
Sans retard
Des lumières de mon regard

Qui accompagne mon esprit bavard

Afin de   détrousser  bon départ

¤

Aussi venez, lisez ! Ce que sont mes rimades

Elles seront aubades

Elles seront sérénades

Pour vos joies en ballade

Au fond de votre esprit en escapade

Qui s’enivrera nonobstant d’en être malade

En vos soucis experts d’algarades  

Qui Dévorent  vos  vies en leurs incartades

Que mes rimades ne vous soient dérobadzs

©ƒC


13/07/2020
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Les yeux rivés au noir

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Les yeux rivés au noir

 

 

Allée des immortels je voudrai  aller

Pour rencontrer un instant de mort

J’ai souhait  de retrouver cette  liberté

A ma  naissance restée là  à son port

 

Mes yeux se rivent  au noir des ténèbres

Puissance de l’ombre qui attire vers le vide

Pour  vous mener  libre dans l’au delà d’une fenêtre

 Espace de ces entrailles du néant qui vous rapine

 

Votre pensée s’étiole dans les bras  de ce monde

Quand  votre droit

 Quand votre devoir

N’est de vivre qu’incrédulité

 

Mais  ma vie saine se rebiffe de cette conspiration

Elle préfère impassible cet esclavage humain

Au libre arbitre d’une mort suggérée au profit d’une machination

Faire honneur à la vie n’est-ce pas plus malin

Quand on n’ergote fruits de tous ces câlins

Que vous offre les douceurs de la nature

©ƒC


05/06/2020
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Quand le ventre de la mer

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Quand le ventre de la mer

 

L’écume s'enrhume

Dans l’océan goulu

Mouchoir du noir

Pour couvrir morve de l’amère
Des marins au matin
fantômes de nos vues
Ils se couchent sur l'anxiété
De nos yeux transpirant l’’effroi
là bas ils veillent  le lai
De  la mer   d’amertume
Maîtresse de l'hardiesse

Trop  complice elle s’étonne
Voir   nos hommes là qui  fredonnent
Dans la passion régente de  leur raison

Ô doux  amours ! Vous mes  mères et mers

Regardez les sur la vague

Quand la beauté de l’écume drague

Le faste de Vos côtes et que divague

Votre esprit sur leurs madragues

D’où l’on entend les silences de l’oubli

Ils embrassent  pulsions des violents  sentiments

Pour  élaguer folles idées ; ce n’est pas  blague.

Femmes seules ne voudraient  qu’on les arnaque

Leur amour ne veut s’empêtrer  dans le vague

Quand le ventre de la  mer; leur amour embarque

Les laissant orphelines d,’une vie qui divague

©ƒC


01/06/2020
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Ô lueurs de soupirs

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O lueurs de soupirs

 

Ce soir dans la pénombre

De ma chambre ronde

De mystérieuses ombres

A la couleur de cendres oblongues

Se vont toute sombre

Reviennent en nombre

Et sans cesse mes doigts me les montrent

Gentillets se referment à leurs  rencontres

O lueurs de soupirs!  Mes désirs en fronde

Me Volent d’illusions,  mon bonheur qui gronde.

 

Ne laissez pas aller vos soupirs

Ils ont  facile ce grand désir

De venir et vous conduire

Sur le ciel bleu de vos plaisirs

Pour votre âme à jamais,  réjouir.

©ƒC


03/03/2020
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